Dans sa situation originale la timonerie était grippée.
Nous demandons au chantier de la dégripper.
Le chantier applique alors des efforts importants en installant un grand bras de levier pour parvenir à débloquer le gouvernail. Parallèlement il inroduit de l'acide dans l'espoir d'un déblocage.
Rien n'y fait.
Mr Enriqué dit alors :
Il n'y a pas de problèmes, que ce soit aujourd'hui, demain ou le jour d'après ou après nous parviendrons à débloquer ce gouvernail.
En fait il n'en est rien.
L'opérateur décide d'utilier l'élévateur mais le blocage reste et souleve le bateau par le gouvernail. Alors il décide d'empècher le bateau de se lever en le bloquant au moyen des installations métaliques de stockage des bateaux. Il applique alors la force de l'élévateur jusqu'à des craquements de la coque. Il arrète alors ce mauvais traitement.
Nous devons partir. lorsque nous revenons le chantier a remplacé le puit de jaumière par un moyen que nous ne connaissons pas. Nous craignons le pire.
Dans la pratique c'est dans cette région que se situe la voie d'eau qui utilise certainement l'espace du craquement pour s'infilter à bord. Dans ce cas la résistnce mécanique de la coque est sérieusement entammée et doit être réparée.