Le chantier a pris le bateau au mouillage. Très vite on s'apercoit que la timonerie est grippée ce qui perturbe la récupération du bateau.
A terre le chantier tente de dégriper dispositif, y compris à l'aide d'acide et à l'aide d'efforts de rotation mais rien n'y fait. Le chantier décide alors de changer le dispositif et cheche à démonter le puit de jaumière à l'aide d'un cric. Ce cric ne parvient pas à débloquer la pièce alors qu'il soulève le bateau.
Le chantier remplace alors le cric par l'élévateur très puissant. Aux premiers essais le bateau se soulève.
Pour contrer ce déplacement et empècher que le bateau ne se soulève le chantier dispose une barre métallique sur le pont fixée à celles au sol. Lorsque le chariot élévateur applique son effort on entend des craquements issus de la coque. Je n'ai pas vu la suite des opérations mais il est certain que le chantier a appliqué des effors supérieurs à la capacité de résistance du bateau et il y a fort à penser que les craquements entendus sont à l'origine de la voie d'eau. Ceci signifie que la coque du bateau a craqué sans que le chantier ne s'en inquiète.
Géographiquement la fuite d'eau apparait quelques contimètres à l'arrière de l'artimon ce qui confirmerait cette hypothèse.